What's this f*cking place ? ( Pv. : Toi, de préférence, un mec )

Voilà, j'étais arrivé sur cette île maudite. Je descendis les marches de l'avion privée dans mes souliers à talon Prada, d'un rouge scintillant, en cuir. Ma robe bouffante noire à pois blancs s'arrêtait à la mi-cuisse, flairant la vulgarité. Chez moi, on en aurait fait la page couverture des magasines People. Cette pensée m'arracha un soupir. Ma chevelure noire retombait lourdement dans mon dos. Je secouais la tête et mis mes lunettes de soleil blanches. Je marchais d'un pas hésitant, mais rapide, vers l'édifice moderne de couleur crème qui se situait à environ une centaine de mètres.

Malheureusement, comme si être coincée ici n'était pas assez, la pluie se mit à tomber. Quand j'arrivais à l'intérieur, j'étais déjà tout trempée. J'eu un léger grognement, mais continuais ma route à travers les corridors de la bâtisse, traînant mes valises d'une main, et de l'autre, empoignant le plan. Distraite, et surtout, le nez dans le papier qui m'indiquait où aller, très mal traduit en anglais, je heurtais un objet lourd et retombais sur le derrière. J'observais l'étendu des dégâts. Mes valises étaient toutes ouvertes et leur contenus étaient répendu sur le plancher, mon ongle du petit doigt était cassé, et j'avais un effroyable mal de dos. Je relevais la tête pour voir dans quoi j'étais rentré, et, il faut l'avouer, je fus étonnée de voir que ce n'était pas un quoi, mais un qui.

JE me promenais lentement sur l'île lorsque je vis un nouvel avion atterir. J'espérait fortement que ce fusse une fille. C'est pas que j'en avais déjà assez de Mitsuko. Mais disons qu'un peu de variété ne ferait pas de mal. J'avais même pas encore couché avec elle, et je devais dire que j'étais un peu en manque. Et puis je ne pense pas que je pourrais tenter quelque chose avec Maddie. Elle avait déjà Noah... Dommage, elle était assez sexy, ça c'est certain. Neddie, bah, je sais pas, je lui avait pas vraiment adressé la parole. Même chose pour Pearl. Et puis j'avais bien l'intention de ne pas passer toutes mes nuits seul.
ET puis... C'Était une fille! Jolie, faut le dire franchement. De loin je pouvais dicerner deux grands yeux bleus, quoi que un peu cachés par ses longs cheveux d'un noir de jais. Elle était habillée comme... Ben comme une fille.
Je la suivis silencieusement à travers l'île, alors qu'elle se rendait dans les batîments. Je voulais me montrer subtil. Pourtant, dans un moment d'innatention, je me rendis compte qu'elle me fonçait dedans. J'aurais voulu me tasser mais j'étais incapable de bouger. Étrange quand même...
En tout cas, toutes ses choses étaient maintenant étalées par terre. Lorsqu'elle leva le regard vers moi, je décidai de me présenter.

- Salut, je m'appelle Yukio. Bienvenue sur cette île étrange qu'on appelle communément Mahriesh.

Joli spécimen. Il fallait dire que je n'étais pas insensible sur ce point, surtout que j'avais frappé ses abdos. Je le regardais quelques instants observant ses traits, puis détacha lentement mon regard du sien. Je me dépêchais de cacher les culottes à dentelles, ou bien les nombreux soutifs ( communément appelé soutien-gorge ) dans mes valises. Il m'adressa la parole, ce qui me surprit quelque peu.

-Salut, je m'appelle Yukio. Bienvenue sur cette île étrange qu'on appelle communément Mahriesh. Me dit-il un sourire flottant aux lèvres.

Je restais planté là, assise, par terre. Je résolu donc à ouvrir à mon tour la bouche.

-Talor Fletcher. Me présentais-je légèrement boudeuse.

Oui, boudeuse, puisqu'avec un mec comme ça, on ne peut être bête. Impatiente, je poussais un léger soupir.

-Quand on fait tomber une femme, on l'aide à se relever, c'est la moindre des choses. Répliquais-je en souriant légèrement, et quand on dit légèrement, c'est que c'est légèrement.

Taylor... Joli prénom. Et puis de près, elle n'était pas trop mal, comme fille... Plutôt belle, je dois le dire. Grande et élancée. Silouhette de rêve. Ouain, pas laide.
Oh! Et avec un petit caractère aussi... Interessant, très interessant.

- Et quand on fonce dans quelqu'un, on s'excuse, c'est la moindre des choses, répliquais-je avec mon éternel sourire.

Je me baissai un peu et lui tendis ma main. Elle l'attrapa et je l'aidai à se relever. Puis, je ramassai quelques-unes de ses affaires pour les remettre dans ses valise. Beaucoup de linge. De nombreuses culottes à dentelle et d'autres sous-vêtements. Je ne prêtai aucune attention particulière à ce que je ramassais. J'en avais vu bien d'autres! Mon devoir terminé, je fermai ses valise et les lui tendis.

Je la dirigeai vers le dortoir des filles et me couchai sur le lit de Mitsuko. Elle n'étaits pas là, de toute façon. Quest-ce qu'elle pourrait bien me faire?

Il répliqua que la moindre des choses était de s'excuser quand on fonçait dans quelqu'un. Je décidais donc de laisser mon caractère bouillant de côté pendant quelques secondes et répondis à son sourire par un nouveau, toujours aussi craquant. Je marmonnais donc un léger " Désolé ".

Il m'attrapa la main avec délicatesse, et me souleva du sol, me reposant sur mes deux pieds, ou mes deux talons. J'arrivais tout de même, malgré les sept centimètres que je gagnais avec mes chaussures, à être plus petite d'une dizaine de centimètres. Il m'aida à ramasser mes affaires, silencieux, ce que je ne pu m'empêcher de trouver mignon.

Il m'accompagna même jusqu'à ma chambre qu'on pouvait en fait qualifier de... Dortoir. J'eu une grimace de dégoût. L'endroit n'était pas mal, mais ça me changeait des immences palaces londoniens.

Ce que je pensais, ne durerais que quelques instants, durerait beaucoup plus longtemps, étant donné que Yukio se coucha sur un lit, pour moi, ça restait un signe quelque peu évident. J'haussais les épaules et déposais mes valises à l'entrée. Je refermais doucement la porte derrière moi, le même sourire qui ne voulait toujours pas partir.

Je l'entendis marmonner un léger "désolé". Assis sur le lit, je regardai la nouvelle venue. Elle ferma la porte du dortoir. Cela semblait un signe évident. Aujourd'hui ne serait pas une journée comme les autres. Je me levai et fermai les fenêtres de sorte que personne ne puisse voir ni entendre ce qui allait se passer dans cette pièce. La porte était barrée. Et puis même si cette Taylor ne voulait pas, ce qui m'étonerais, j'avais décidé de m'amuser aujourd'hui. Et quoi de plus divertissant qu'une partie de jambes en l'air avec un fille. Bah oui, avec une fille puisqu'avec Noah sa paraitrais vraiment étrange.

Doucement j'approchai d'elle. Elle me regardait. Je la fixais avec envie. Et puis Mitsu n'en saurait rien tant que je ne lui dirai pas, ce qui ne risquera pas d'arriver de sitôt. Je lui attrapai un bras et la tirai vers moi. Immédiatement, je plaquai mes lèvres contre les siennes. Ma langue se fraya un chemin jusqu'à la sienne. Je l'embrassai longuement, fougeusement. Ma main derrière sa nuque l'empêchait de se décoller de moi. Je la poussai sur son lit. Je décidai que la journée de son arrivée, elle s'en rappelerait toute sa vie.

Mes mains glissèrent sous son chandail et caressèrent sa peau douce. Je l'embrassai dans le coup et lui mordillai le lobe d'oreille. Doucement, j'enlevai mon chandail. J'essayai tant bien que mal de lui cacher les marques de fouet laissées dans mon dos mais ne me préoccupai pas trop de ce léger détail. J'étais assez occupé comme ça...

Aujourd'hui, j'allais me taper la nouvelle. Ça devrait compenser pour mon méchant manque de sexe.

J'esquissais un bref sourire en coin quand il ferma les fenêtres et qu'il m'attira vers lui. Après tout, on se connaissait à peine. Je savais seulement son nom. Malgré tout, il m'avait arrivé à trois reprises que cet incident, si on pouvait appeler ceci, un incident, m'arrive. Un jour, pendant un gala, je m'étais enfuit avec un beau blond qui me faisait les yeux doux depuis le début de la soirée, une autre sur le plateau de tournage d'un nouveau film et une troisième dans une avion ( je sais, comment on fait ce genre de chose dans un avion ? Pourtant, plus l'endroit est étroit, plus on semble s'amuser. ) .

Enfin bref, revenons en aux faits... Il m'attira vers lui avec toute la délicatesse qu'une femme mérite et m'embrassa. Je gardais le même sourire satisfait aux lèvres. Après tout, peut-être n'allais-je pas m'ennuyer tant que ça sur cette île. J'eu un léger cris de surprise quand il me poussa sur le lit. Mais c'est qu'il était pressé celui-là.

Il passa ses mains sous ma robe, qui me valut quelques frisons, à vrai dire, ce ne fut rien à côté des baisers dans le cou ou du léger mordillage.

Il retira enfin son chandail, dévoilant une rangée d'abdos. Je passais une main dans son dos, jouant de mes ongles, et de l'autre, m'accrochais fermement à son cou. Je passais ma main sur d'étranges cicatrices, mais n'y portait pas plus d'attention. Pour l'instant, l'heure n'était pas à poser des questions, la période de questions viendrait plus tard.

Vous voyez, l'inconvénient quand on porte une robe, c'est que ça reste un seul morceau de linge. Un seul, ce n'est pas assez pour faire durer le plaisir, et vous vous retrouvez rapidement en petite tenue. Je retirais tout de même la robe qui couvrait pourtant à peine mon corps, me retrouvant en sous-vêtements beiges à motif noir. Oui, oui, il faut préciser parce que ces pièces de lingerie venait de la collection d'hiver " Victoria Secret " à Londres.

Je décidais pourtant de garder mes souliers, dans l'incapacté de les retirer pour le moment.

Je laissai mes mains se balader sur son corps. Elles se frayaient un chemain partout celles-la. Accroupi sur elle, je l'enlaçai et profitai en même temps de l'occasion pour enlever ses sous-vêtements beiges à motifs noirs.

Ce n'était pas la première fois que je faisait ça. J'avais baisé un nombre incalculable de filles. Pour tout dire, je ne me rappelais plus trop le nom du trois-quart d'entre elles. Et puis quelle importance? En autant qu'elles soient bonnes au lit. Et puis il y en avait qui étaient vierges, avant de me rencontrer. Celles-la étaient de loin les plus amusantes. Je me plaisait à regarder la drôle de tête qu'elles faisaient lorsque je pénetrais. À MOURIR DE RIRE! C,était comme une sorte de grimace mélangée à du contentement et de la surprise. MAis si il y avait une seule chose dont j'étais sur, c'est qu'elles n'avaient as été décues.

Pourtant la fille sous moi, elle... Enfin, on voyait tout de suite que ce n'étais pas sa première fois. La douceur de ses mains sur ma peau me firent frémir. Rapidement, mes pantalons trouvèrent le chemin du plancher. Et bientôt, nous étions tous les deux nus, collée l'un à l'autre à s'embrasser sauvagement, comme si la terre allait exploser d'un instant à l'autre.

Ne pouvant plus me retenir, je me plaçai et entrai en elle, faisant des vas-et-viens plutôt lents, puis de plus en plus rapides.

[HJ: Scuse pour ce post de merdee, j'avais TELLEMENT pas d'inspiration.]

HJ : Bon, je vois qu'on est vraiment dedans, ceci dit en bon québécois, mais essayons d'y aller avec des termes TRÈS, TRÈS LARGES je ne voudrais choquer personne. Et je pense que pour le bien de tous - ainsi que moi - nous devrions soit mettre en spoiler le plus... Huuum choquant, ou simplement le développer de façon très large comme dit au début.

Je souris vaguement; que de souvenirs. Il fallait dire que dire que c'était assez prématuré. Les préliminaires étaient totalement gâchés, mais je m'en foutais royalement, parce que pour le moment, ses mains caressaient mon corps avec une habileté quelque peu fascinante. Je ne pu m'empêcher un petit soupir qu'en je sentis son corps chauds, nu contre le mien. Ça faisait déjà un mois que je n'avais pas fait les choses ainsi. Enfin, ça faisait en fait un mois que je n'avais pas fait ce genre de chose, point à la ligne.

Évidement que je ne tardais pas à me retrouver nue. J'étais irrésistible, et ça, je le savais bien. Je plaisais aux hommes.

Peut-être resterais-je un peu plus longtemps sur cette île à mieux y penser. D'ailleurs, elle commençait à bien me plaire. Enfin, surtout ces habitants, bien que j'en aille rencontré qu'un, si tout ces jeunes hommes étaient si accueillants et entrepenants, ça prommetait.

Cette fois-ci, je ne lâchais pas un léger soupir, mais un gémissement.